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Bonjour à tous et à toutes,
Me revoilà après quelques mois d'absences sur ce forum.
Pour ceux qui s'en souviennent je vous avais laissé alors que j'étais empêtré dans une guéguerre avec mon ex-femme au sujet de nos enfants et de notre procédure de divorce.
Récemment, nous avons commencé une sorte de thérapie afin d'apaiser le conflit. Le problème est que dernièrement, j'ai appris que mon ex-femme s'était servi de ce qui a été dit durant l'une ou l'autre séance pour :
- déformer mes propos et en inventer certains autres;
- en faire part à la Justice (calomnie et diffamation)
Sans parler de plainte pour calomnie et diffamation et sans parler de plainte tout court (je ne souhaite pas verser de l'huile sur le feu et par la même occasion que mes enfants soient une nouvelle fois instrumentaliser dans ce conflit), je sais qu'un thérapeute a un devoir de discrection. Quelqu'un peut-il me dire si les "patients" eux aussi ont un devoir de discrection et si oui, la violation de celui-ci peut-elle faire l'objet d'une plainte?
D'avance merci pour vos réponses et très bonne journée à tous et à toutes.
Si j'ai bien compris, ton ex s'est servie de propos échangés dans le cadre thérapeutique. Il me semble important que cette question de discrétion soit reprise dans ce cadre-là, lors d'une prochaine séance. Dans ce contexte, vous pourrez reprendre les propos qu'elle a "sorti" et peut-être en faire quelque chose.